C'est un recueil à la fois enfantin et très construit : du poème en prose à la villanelle, du sonnet au pantoum, j'y alterne les formes poétiques en une succession d'exercices de style. Mais l'unité thématique de l'ensemble fait qu'il plaît aux enfants.
Plutôt qu'un extrait, je poste ce soir un poème qui fera peut-être parti de mon second recueil (work in progress) :
Disque de notre amour rayé
Je me souviens des jours de J’aime
Et des matins ensoleillés
Je me souviens des jours de gêne
Qui ont succédé à l’acmé.
Il ne m’en reste que de la peine
Je tourne en rond dans ma maison
Et je recense nos amours vaines
Tous nos espoirs déboussolés.
Je tourne en rond dans ma maison
Sans rythme ma raison
Qui me rappelle que nos passés
Étendaient leurs illusions reines
Sur l’automne qui aurait été.
L'hiver a été.. use mes chaînes,
Tous nos rêves partis en fumée.
Je me souviens des jours de J’aime,
De nos matins ensoleillés...
Sans rime ni saison
Et le brouillard qui a suivi,
Brouillard qui a endolori
Sans rythme sans raison
Nos illusions, nos cris finis,
Tout notre amour, cet éconduit.
Amour qui tape à mes fenêtres,
Volets ou vitres en mon esprit,
Amour qui hurle de tout mon être
Qu’il est un regret incompris.
Je me souviens des jours de J’aime
Et des matins ensoleillés
Je me souviens des jours de gêne
Qui ont succédé à l’acmé.
Il ne m’en reste que de la peine
Je tourne en rond dans ma maison
Et je recense nos amours vaines
Tous nos espoirs déboussolés.
Je tourne en rond dans ma maison
Sans rythme ma raison
Qui me rappelle que nos passés
Étendaient leurs illusions reines
Sur l’automne qui aurait été.
L'hiver a été.. use mes chaînes,
Tous nos rêves partis en fumée.
Je me souviens des jours de J’aime,
De nos matins ensoleillés...
Sans rime ni saison
Et le brouillard qui a suivi,
Brouillard qui a endolori
Sans rythme sans raison
Nos illusions, nos cris finis,
Tout notre amour, cet éconduit.
Amour qui tape à mes fenêtres,
Volets ou vitres en mon esprit,
Amour qui hurle de tout mon être
Qu’il est un regret incompris.